L’attaque barbare contre le Splendid Hotel à Ouagadougou, le 15 janvier, et celle contre le Radisson Blu Hotel de Bamako le 20 novembre. La boucherie ignoble du 13 novembre à Paris, celles – nombreuses – au nord-est du Nigeria, au Tchad, en Somalie, au Kenya…
Les employés du Cappuccino, l’un des deux établissements pris pour cible par les auteurs de l’attaque terroriste de Ouagadougou vendredi dernier, restent traumatisés par ce qu’ils ont vécu. Témoignages.
Le bilan de l’attaque, le 15 janvier, d’une base militaire kényane du sud de la Somalie, restait inconnu mardi, au lendemain du rapatriement à Nairobi des quatre premiers corps de soldats tués. Toutefois, les Shebab, habitués à exagérer les pertes, ont fait état de plus de cent soldats abattus.
De l’immolation de Mohamed Bouazizi le 17 décembre 2010 à l’attentat du 24 novembre 2015 à Tunis, voici les grandes dates de la nouvelle démocratie tunisienne.
Jalal Attar, un Belgo-Marocain proche des membres du commando terroriste ayant perpétré les attentats de Paris, a été arrêté au Maroc. Selon le parquet belge, il y résidait depuis 2013 et faisait l’objet d’un mandat d’arrêt international depuis juillet 2015.
Quatre jours après l’attaque terroriste qui a frappé un restaurant et un hôtel dans le centre de la capitale burkinabè, le mode opératoire des jihadistes se précise.
Alors que l’enquête se poursuit, le bilan de l’attentat commis dans la nuit du 15 au 16 janvier s’élève à 30 morts après le décès de la photographe franco-marocaine Leïla Alaoui.
Un ressortissant belge d’origine marocaine qui serait en lien direct avec les auteurs des attentats de Paris du 13 novembre, a été arrêté vendredi dernier à Mohammedia, ont indiqué les autorités marocaines, par communiqué. Il sera déféré devant la justice du pays, sitôt l’enquête achevée.
Renseignements mal exploités, problèmes de coordination, équipement insuffisant… Deux jours après l’attaque terroriste inédite à Ouagadougou, certaines sources sécuritaires n’hésitent pas à parler de « gros cafouillage » pour décrire la réaction des forces de sécurité burkinabè, en pleine phase de reconstruction depuis la chute de l’ex-président, Blaise Compaoré.
Deux jours après l’attaque menée par un commando d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui a fait 29 morts dans le centre-ville de la capitale burkinabè, le groupe terroriste a publié la photo de trois assaillants. À Ouagadougou, l’enquête se poursuit.
Moussa, policier, a participé à l’assaut contre le commando jihadiste qui a attaqué un restaurant et un hôtel de Ouagadougou vendredi soir. Blessé par des tirs des assaillants, il a été évacué samedi au petit matin.
Selon des sources concordantes, au moins quatre personnes ont été tuées lundi matin dans un attentat-suicide contre une mosquée dans l’extrême-nord du Cameroun.
Quatorze ou quinze étrangers figurent parmi les 29 victimes de l’attaque jihadiste de Ouagadougou, selon les bilans donnés dimanche par un ministre burkinabè et le procureur du Faso. Sept corps restent non-identifiés.
Deux jours après l’attaque d’un commando d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) contre un restaurant et un hôtel du centre de la capitale burkinabè, le scénario de cet attentat inédit et meurtrier se précise.
Le Premier ministre malien, Modibo Keïta, a affirmé dimanche que Bamako et Ouagadougou devaient « mutualiser » leurs efforts contre le terrorisme, après les attaques qui ont fait 29 morts dans la capitale burkinabè.
Dans la nuit de vendredi à samedi, plusieurs terroristes ont attaqué un café et un hôtel du centre de Ouagadougou, faisant 29 morts et une trentaine de blessés. Cette première attaque jihadiste dans la capitale burkinabè a été revendiquée par Aqmi.
Plus d’un an et demi après l’enlèvement de leurs filles, les parents des lycéennes enlevées par Boko Haram en avril 2014 continuent leur mobilisation. Ils ont à nouveau réclamé leur libération jeudi 14 janvier lors d’une rencontre avec Muhammadu Buhari, qui a demandé plus de temps pour les retrouver.
Pour piéger la droite et favoriser sa réélection en 2017, François Hollande reprend à son compte une vieille revendication du Front national : la déchéance de nationalité pour les binationaux coupables de terrorisme. C’est ce qui s’appelle jouer avec le feu.
L’enquête se poursuit après un attentat-suicide dans le cœur touristique d’Istanbul attribué au groupe État islamique (EI). Dix Allemands sont morts, a indiqué mercredi le ministère allemand des affaires étrangères sans préciser si le bilan total de dix morts était revu ou non à la hausse.
D’après les autorités turques, l’auteur de l’attentat-suicide qui a fait au moins 10 morts – dont 9 ressortissants allemands – et 15 blessés, mardi matin, dans le quartier touristique de Sultanahmet dans le centre-ville d’Istanbul, est un jeune Syrien, né en 1988, membre du groupe jihadiste État islamique (EI).
Les gardes des installations pétrolières (GIP) ont affirmé avoir repoussé dimanche une tentative d’incursion du groupe jihadiste dans le terminal de Zueitina, dans le nord de la Libye, a indiqué l’un de leurs responsables.
Le 28 mai 2014, Ahmed Sahnouni était déchu de sa nationalité française. Condamné en 2013 pour terrorisme en lien avec Al-Qaïda, le Marocain est le dernier à avoir fait l’objet de cette mesure*, que François Hollande espère étendre et inscrire dans la constitution française. Expulsé en septembre, il est aujourd’hui en détention au Maroc.
Ils étaient seulement une vingtaine à se présenter lundi 11 janvier pour la reprise des cours à l’université de Garissa. L’établissement accueillait environ 800 étudiants lorsqu’elle avait été attaquée en avril 2015 par un commando islamiste shebab, un massacre ayant fait 148 morts.
Près de deux mois après l’attaque meurtrière contre l’hôtel Radisson Blue de Bamako qui a fait au moins une vingtaine de morts le 20 novembre dernier, l’enquête progresse. D’après les éléments dont dispose actuellement le procureur, la piste du groupe jihadiste Al-Mourabitoune se confirme, a indiqué ce week-end le magistrat, à la télévision publique malienne.
Le coordinateur d’un attentat meurtrier perpétré en novembre dans une banlieue de Beyrouth et revendiqué par le groupe État islamique (EI) a été arrêté dimanche, a indiqué à l’AFP une source des services de sécurité.
Un touriste suédois blessé lors d’une attaque au couteau contre un hôtel d’une station balnéaire égyptienne a quitté l’hôpital, tandis qu’un couple d’Autrichiens âgés est toujours hospitalisé, ont indiqué dimanche des responsables hospitaliers.
Trois touristes européens – deux Autrichiens et un Suédois – ont été blessés vendredi dans une attaque contre un hôtel d’une station balnéaire en Égypte, a annoncé la police qui a tué un assaillant et blessé un second.
Selon plusieurs sources proches de l’enquête citées par des médias français, l’homme abattu jeudi à Paris devant un commissariat de police a été reconnu par des membres de son entourage. Il serait tunisien et s’appellerait Tarek Belgacem.