L’État islamique a publié dimanche une vidéo mettant en scène neuf des auteurs des attaques du 13 novembre à Paris. Le président François Hollande a réagi en déclarant qu’« aucune menace ne fera douter la France ».
Sept personnes ont été tuées, 13 autres blessées, dans l’explosion d’un appartement piégé, jeudi soir au Caire, pendant qu’avait lieu un raid de la police égyptienne visant des suspects appartenant à la confrérie des Frères musulmans. La branche égyptienne de l’État islamique (EI) a revendiqué l’attentat.
Entre l’unité anti-terroriste du MNLA et le groupe jihadiste Ansar Eddine de Iyad Ag Ghali, la guerre est déclarée dans la région de Kidal. Les deux frères ennemis règlent leurs comptes loin des caméras, dans la plus grande discrétion.
« Hasna Aït Boulahcen est une victime du terrorisme, elle n’est pas une kamikaze », affirme à Jeune Afrique Me Fabien Ndoumou, avocat de trois membres de la famille de la jeune femme, tuée lors de l’assaut des forces de l’ordre à Saint-Denis (banlieue parisienne) le 18 novembre, cinq jours après les attentats qui ont tué 130 personnes à Paris.
Un candidat à la présidentielle nigérienne, Adal Rhoubeid, a été arrêté par les autorités burkinabè dans le cadre de l’enquête sur l’attaque de Ouagadougou du 15 janvier dernier. Il a été relâché dans la soirée mercredi.
Trois gendarmes maliens ont été tués dans la nuit de mardi à mercredi près de Mopti par des jihadistes présumés, selon des sources militaire et policières.
Jeune Afrique a rencontré un gendarme d’élite burkinabè qui a pris part à l’intégralité de l’assaut contre les jihadistes qui ont frappé Ouagadougou le 15 janvier. Voici son récit.
Le Premier ministre français, Manuel Valls, a annoncé mardi 19 janvier que trois assaillants présumés de l’attentat à Ouagadougou étaient « encore recherchés ». Selon lui, l’attentat de Ouagadougou aurait été mené par « six » personnes, dont trois ont été tuées, a-t-il indiqué à l’Assemblée.
L’attaque barbare contre le Splendid Hotel à Ouagadougou, le 15 janvier, et celle contre le Radisson Blu Hotel de Bamako le 20 novembre. La boucherie ignoble du 13 novembre à Paris, celles – nombreuses – au nord-est du Nigeria, au Tchad, en Somalie, au Kenya…
Les employés du Cappuccino, l’un des deux établissements pris pour cible par les auteurs de l’attaque terroriste de Ouagadougou vendredi dernier, restent traumatisés par ce qu’ils ont vécu. Témoignages.
Le bilan de l’attaque, le 15 janvier, d’une base militaire kényane du sud de la Somalie, restait inconnu mardi, au lendemain du rapatriement à Nairobi des quatre premiers corps de soldats tués. Toutefois, les Shebab, habitués à exagérer les pertes, ont fait état de plus de cent soldats abattus.
De l’immolation de Mohamed Bouazizi le 17 décembre 2010 à l’attentat du 24 novembre 2015 à Tunis, voici les grandes dates de la nouvelle démocratie tunisienne.
Jalal Attar, un Belgo-Marocain proche des membres du commando terroriste ayant perpétré les attentats de Paris, a été arrêté au Maroc. Selon le parquet belge, il y résidait depuis 2013 et faisait l’objet d’un mandat d’arrêt international depuis juillet 2015.
Quatre jours après l’attaque terroriste qui a frappé un restaurant et un hôtel dans le centre de la capitale burkinabè, le mode opératoire des jihadistes se précise.
Alors que l’enquête se poursuit, le bilan de l’attentat commis dans la nuit du 15 au 16 janvier s’élève à 30 morts après le décès de la photographe franco-marocaine Leïla Alaoui.
Un ressortissant belge d’origine marocaine qui serait en lien direct avec les auteurs des attentats de Paris du 13 novembre, a été arrêté vendredi dernier à Mohammedia, ont indiqué les autorités marocaines, par communiqué. Il sera déféré devant la justice du pays, sitôt l’enquête achevée.
Renseignements mal exploités, problèmes de coordination, équipement insuffisant… Deux jours après l’attaque terroriste inédite à Ouagadougou, certaines sources sécuritaires n’hésitent pas à parler de « gros cafouillage » pour décrire la réaction des forces de sécurité burkinabè, en pleine phase de reconstruction depuis la chute de l’ex-président, Blaise Compaoré.
Deux jours après l’attaque menée par un commando d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui a fait 29 morts dans le centre-ville de la capitale burkinabè, le groupe terroriste a publié la photo de trois assaillants. À Ouagadougou, l’enquête se poursuit.
Moussa, policier, a participé à l’assaut contre le commando jihadiste qui a attaqué un restaurant et un hôtel de Ouagadougou vendredi soir. Blessé par des tirs des assaillants, il a été évacué samedi au petit matin.
Selon des sources concordantes, au moins quatre personnes ont été tuées lundi matin dans un attentat-suicide contre une mosquée dans l’extrême-nord du Cameroun.
Quatorze ou quinze étrangers figurent parmi les 29 victimes de l’attaque jihadiste de Ouagadougou, selon les bilans donnés dimanche par un ministre burkinabè et le procureur du Faso. Sept corps restent non-identifiés.
Deux jours après l’attaque d’un commando d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) contre un restaurant et un hôtel du centre de la capitale burkinabè, le scénario de cet attentat inédit et meurtrier se précise.
Le Premier ministre malien, Modibo Keïta, a affirmé dimanche que Bamako et Ouagadougou devaient « mutualiser » leurs efforts contre le terrorisme, après les attaques qui ont fait 29 morts dans la capitale burkinabè.
Dans la nuit de vendredi à samedi, plusieurs terroristes ont attaqué un café et un hôtel du centre de Ouagadougou, faisant 29 morts et une trentaine de blessés. Cette première attaque jihadiste dans la capitale burkinabè a été revendiquée par Aqmi.
Plus d’un an et demi après l’enlèvement de leurs filles, les parents des lycéennes enlevées par Boko Haram en avril 2014 continuent leur mobilisation. Ils ont à nouveau réclamé leur libération jeudi 14 janvier lors d’une rencontre avec Muhammadu Buhari, qui a demandé plus de temps pour les retrouver.
Pour piéger la droite et favoriser sa réélection en 2017, François Hollande reprend à son compte une vieille revendication du Front national : la déchéance de nationalité pour les binationaux coupables de terrorisme. C’est ce qui s’appelle jouer avec le feu.