L’enquête se poursuit après un attentat-suicide dans le cœur touristique d’Istanbul attribué au groupe État islamique (EI). Dix Allemands sont morts, a indiqué mercredi le ministère allemand des affaires étrangères sans préciser si le bilan total de dix morts était revu ou non à la hausse.
D’après les autorités turques, l’auteur de l’attentat-suicide qui a fait au moins 10 morts – dont 9 ressortissants allemands – et 15 blessés, mardi matin, dans le quartier touristique de Sultanahmet dans le centre-ville d’Istanbul, est un jeune Syrien, né en 1988, membre du groupe jihadiste État islamique (EI).
Les gardes des installations pétrolières (GIP) ont affirmé avoir repoussé dimanche une tentative d’incursion du groupe jihadiste dans le terminal de Zueitina, dans le nord de la Libye, a indiqué l’un de leurs responsables.
Le 28 mai 2014, Ahmed Sahnouni était déchu de sa nationalité française. Condamné en 2013 pour terrorisme en lien avec Al-Qaïda, le Marocain est le dernier à avoir fait l’objet de cette mesure*, que François Hollande espère étendre et inscrire dans la constitution française. Expulsé en septembre, il est aujourd’hui en détention au Maroc.
Ils étaient seulement une vingtaine à se présenter lundi 11 janvier pour la reprise des cours à l’université de Garissa. L’établissement accueillait environ 800 étudiants lorsqu’elle avait été attaquée en avril 2015 par un commando islamiste shebab, un massacre ayant fait 148 morts.
Près de deux mois après l’attaque meurtrière contre l’hôtel Radisson Blue de Bamako qui a fait au moins une vingtaine de morts le 20 novembre dernier, l’enquête progresse. D’après les éléments dont dispose actuellement le procureur, la piste du groupe jihadiste Al-Mourabitoune se confirme, a indiqué ce week-end le magistrat, à la télévision publique malienne.
Le coordinateur d’un attentat meurtrier perpétré en novembre dans une banlieue de Beyrouth et revendiqué par le groupe État islamique (EI) a été arrêté dimanche, a indiqué à l’AFP une source des services de sécurité.
Un touriste suédois blessé lors d’une attaque au couteau contre un hôtel d’une station balnéaire égyptienne a quitté l’hôpital, tandis qu’un couple d’Autrichiens âgés est toujours hospitalisé, ont indiqué dimanche des responsables hospitaliers.
Trois touristes européens – deux Autrichiens et un Suédois – ont été blessés vendredi dans une attaque contre un hôtel d’une station balnéaire en Égypte, a annoncé la police qui a tué un assaillant et blessé un second.
Selon plusieurs sources proches de l’enquête citées par des médias français, l’homme abattu jeudi à Paris devant un commissariat de police a été reconnu par des membres de son entourage. Il serait tunisien et s’appellerait Tarek Belgacem.
Les autorités marocaines ont annoncé, le 8 janvier, par un communiqué du ministère de l’Intérieur, le démantèlement d’une cellule terroriste à Dar Bouazza, aux environs de Casablanca.
Le groupe État islamique (EI) a revendiqué vendredi l’attentat au camion piégé qui a fait la veille plus de 50 morts dans un centre de police à Zliten, à 170 km à l’est de la capitale libyenne, Tripoli.
Dans le cadre de la lutte antiterroriste, la police new-yorkaise a annoncé jeudi la mise en place de réformes afin de traiter d’une manière plus équitable les musulmans.
L’assaillant du commissariat du 18e arrondissement qui a été abattu par des policiers jeudi était connu des services de police. D’après un document retrouvé sur lui, il avait prêté allégeance à l’Etat islamique, justifiant son acte par une vengeance contre « les attaques en Syrie ».
Le bourreau présumé de l’organisation État islamique a été condamné ce jeudi à 15 ans de prison au procès à Paris pour son rôle dans l’acheminement de jihadistes en Syrie.
Hissé au rang de héros après l’attaque à Paris contre l’Hyper Cacher il y a tout juste un an, Lassana Bathily, désormais franco-malien, a raconté à Jeune Afrique comment l’attentat avait bousculé sa vie.
Près de dix mois après le massacre à l’université de Garissa, dans le nord-est du Kenya, les survivants ont témoigné de l’horreur des tueries qui ont coûté la vie à 148 personnes, lors du procès de cinq hommes accusés d’être liés à cette attaque. L’audience doit se poursuivre ce vendredi.
De source sécuritaire, plus de 50 personnes ont péri jeudi dans un attentat suicide contre un centre de la police dans la ville de Zliten, située dans l’ouest de la Libye. Le même jour, un autre kamikaze s’est fait exploser dans la ville pétrolière de Ras Lanouf, entraînant la mort d’au moins six personnes.
Dresser la liste des personnalités qui marqueront l’Afrique en cette année qui débute est un exercice périlleux, même si les élections, les crises dont l’épilogue se fait attendre ou les événements sportifs et culturels mettront certainement en avant des protagonistes bien connus. Jeune Afrique vous propose une liste non-exhaustive. Parmi eux, Mokhtar Belmokhtar, leader d’Al-Mourabitoune.
Incarcéré depuis 2011 pour une tentative d’assassinat du président Aziz, Cheikh Ould Saleck s’est évadé de sa prison de Nouakchott le 31 décembre. Il est activement recherché par les services de sécurité mauritaniens, mais aussi par leurs voisins sénégalais.
Une trentaine de villageois ont bloqué lundi une route nationale du nord-ouest de la Tunisie pour réclamer davantage de protection face aux jihadistes retranchés dans la région du mont Ballouta.
La filiale libyenne du groupe jihadiste État islamique a mené lundi deux attaques à proximité d’importantes installations pétrolières dans les villes d’Al-Sedra et de Ras Lanouf au nord du pays.
Jadis sans-papiers malien fuyant les contrôles de police, Lassana Bathily, 25 ans, est depuis un an le « héros » de l’Hyper Cacher, devant qui on déroule le tapis rouge. Une nouvelle vie qu’il raconte dans un livre publié mercredi.
Le gouvernement malien et l’Assemblée nationale du Mali ont autorisé mardi la prorogation jusqu’au 31 mars de l’état d’urgence déjà instauré à deux reprises depuis l’attentat jihadiste contre un grand hôtel de Bamako en novembre.
Comment dire adieu à une année ? On aimerait n’en garder que de bons souvenirs, n’évoquer que des moments de gloire, de tendresse ou de plénitude mais, curieusement, c’est plutôt à ceux qui sont partis, donc à la mort, qu’on pense spontanément. Étrange nature humaine…
Port de la burqa et véhicules à vitres teintées interdits, fouilles et détecteurs de métaux à l’entrée des lieux publics… Face à la menace terroriste, la population a changé ses habitudes. Reportage.
Après l’annulation pour cause de menace terroriste de la 10e édition du Festival international de la mode en Afrique (qui aurait dû se tenir du 25 au 29 novembre à Niamey), la manifestation pourrait se replier momentanément à Abidjan.