Le chef du gouvernement tunisien, Habib Essid, a relevé de ses fonctions le secrétaire d’État aux Affaires sécuritaires, Rafik Chelly, selon un communiqué de la présidence du gouvernement publié mardi. Un limogeage en lien avec l’attentat meurtrier qui a frappé le cœur de Tunis, le 24 novembre.
Alors que les attentats de Paris ont révélé les failles sécuritaires de l’Europe, comment le continent, qui conjugue à la fois une grande habitude et une vraie impuissance, lutte-t-il contre les groupes jihadistes ? Focus sur la capitale algérienne.
Un membre du personnel est décédé et une quarantaine d’étudiants ont été blessés lundi dans une université de Nairobi, lors d’un exercice de sécurité avec une simulation d’attaque terroriste qui a provoqué un mouvement de panique, ont annoncé l’établissement et la police.
Depuis les attentats du 13 novembre à Paris, les caméras du monde entier ont braqué leurs objectifs sur la commune bruxelloise de Molenbeek-Saint-Jean, dont plusieurs terroristes sont originaires. Une surexposition médiatique qui indispose et attriste les habitants. Reportage.
Alors que les attentats de Paris ont révélé les failles sécuritaires de l’Europe, comment le continent, qui conjugue à la fois une grande habitude et une vraie impuissance, lutte-t-il contre les groupes jihadistes ?
Une semaine après l’attaque terroriste de l’hôtel Radisson Blu, la vie reprend progressivement son cours à Bamako. Mais rien ne sera plus vraiment comme avant. La capitale est une cible, et l’État doit désormais faire face à ses manquements en termes de sécurité. Reportage.
Guinée, Cameroun, Tchad : pour se prémunir des attaques terroristes, ils sont de plus en plus nombreux à s’attaquer au voile intégral. Ou du moins à lancer le débat, quitte à susciter la polémique. Tour d’horizon.
Treize personnes ont été arrêtées et du matériel de « guerre » pouvant servir à la fabrication d’explosifs a été retrouvé dans les cadre de l’enquête sur l’attaque meurtrière contre la gendarmerie à Samorogouan début octobre, a affirmé jeudi 26 novembre le ministre délégué à la sécurité du Burkina Faso.
Abdelhamid Abaaoud, les frères Abdeslam, Tarik Chadlioui, Bilal Hadfi … Au lendemain des attentats parisiens du 13 novembre, l’existence d’une filière belgo-marocaine émerge.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Noumouké Sidibé a survécu et a sauvé plusieurs vies.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi eux, Mohamed Amine Ibnolmobarak.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Certains écoutaient le groupe américain Eagles of Death Metal au Bataclan. D’autres fêtaient l’anniversaire d’une amie au restaurant La Belle Équipe, pas très loin de la place de la Bastille. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, qui aimaient la vie, sortir, s’amuser, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi eux, Ludovic Boumbas.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi, eux Hyacinthe Koma.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Certains écoutaient le groupe américain Eagles of Death Metal au Bataclan. D’autres fêtaient l’anniversaire d’une amie au restaurant La Belle Équipe, pas très loin de la place de la Bastille. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, qui aimaient la vie, sortir, s’amuser, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi eux, Halima Ben Khalifa Saadi Ndiaye.
Des autorités locales ont indiqué jeudi que 18 villageois avaient été tués et 11 autres blessés la veille au soir par des membres du groupe terroriste Boko Haram dans le sud-est du Niger.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Certains écoutaient le groupe américain Eagles of Death Metal au Bataclan. D’autres fêtaient l’anniversaire d’une amie au restaurant La Belle Équipe, pas très loin de la place de la Bastille. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, qui aimaient la vie, sortir, s’amuser, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française.
Le ministère de l’Intérieur a annoncé jeudi 26 novembre le démantèlement d’une « cellule terroriste » dont les membres sont liés au groupe extrémiste sunnite État islamique et planifiaient des attentats.
À la suite d’un entretien avec François Hollande, Matteo Renzi a apporté jeudi 26 novembre son soutien à la France et à son offensive diplomatique et militaire contre l’État Islamique, en insistant sur l’urgence de stabiliser la Libye.
Qui pleure trop ? Qui ne pleure pas assez ? La compétition des sanglots bat son plein, depuis que les attentats se multiplient, en Europe ou en Afrique. Mais qui oublie de s’épancher sur l’Afrique ? Peut-être les Africains…
L’administrateur général (numéro 2) de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), le Malien Adama Ouane, était à l’hôtel Radisson Blu de Bamako lors de l’attaque terroriste du 20 novembre. Il raconte ses longues heures d’attente et appelle ses compatriotes au sursaut.
« Ne jamais pardonner à ceux qui ont fait ça », et ne pas céder à la peur des jihadistes. À Bamako, une foule a rendu un dernier hommage, en présence du président Ibrahim Boubacar Keïta, aux cinq employés maliens tués dans l’attaque contre l’hôtel Radisson Blu.
Au lendemain de l’attentat qui a fait au moins 13 morts à Tunis, les autorités tunisiennes ont annoncé mercredi la fermeture pendant 15 jours de la frontière terrestre du pays avec la Libye.
Le groupe État islamique a revendiqué, dans un communiqué diffusé mercredi sur des comptes djihadistes, l’attentat de la veille contre un bus de la sécurité présidentielle à Tunis. Au moins treize personnes ont été tuées dans l’explosion du bus.
Noureddine Faraji, ingénieur chez Nokia Maroc, est l’un des quatre rescapés marocains de l’attaque de l’hôtel Radisson Blu de Bamako, le 20 novembre. Voici le récit, heure par heure, de cette matinée où la mort a bien failli frappé à sa porte.
Sur son compte Facebook, le ministère tunisien de l’Intérieur a indiqué mercredi que le terroriste présumé qui a fait sauter la veille le bus de la garde présidentielle a utilisé « 10 kilogrammes d’explosifs ».
Une treizième dépouille a été retrouvée sur les lieux de l’attentat perpétré mardi contre un bus de la sécurité présidentielle à Tunis. Il pourrait s’agir de celle de l’auteur de l’attaque terroriste.
Les réactions ont été nombreuses mardi soir et mercredi matin après que Tunis a été à nouveau frappée par un attentat, contre un bus de la garde présidentielle, qui a fait au moins douze morts.
Un membre du personnel civil de la Mission de l’ONU au Mali (Minusma) a été tué mardi par une explosion au passage d’un convoi des Nations unies dans la région de Tombouctou.