Un système de communication informatisé et sécurisé pour échanger du renseignement sur les terroristes de la sous-région : c’est le projet ambitieux du G5 Sahel, la nouvelle organisation qui regroupe le Burkina Faso, le Mali, la Mauritanie, le Niger et le Tchad.
Dix-sept heures. L’avenue Bourguiba est noire de monde. C’est l’heure de sortie des bureaux et, en ces Journées cinématographiques de Carthage (JCC), les files s’allongent devant les salles de projection.
Pour le moment, la Côte d’Ivoire ressemble à un lac calme, épargné par la tempête jihadiste qui secoue le monde et la sous-région. Pourtant, les menaces sont prises au sérieux par Abidjan.
Une semaine après l’attaque kamikaze en plein cœur de Tunis, et alors que Paris accueille la COP21 en plein état d’urgence, Jeune Afrique vous emmène sur la piste des jihadistes marocains. À découvrir dans le J.A. n° 2864, en kiosques du 29 novembre au 5 décembre.
Depuis mardi, chroniqueurs, figures de la société civile et internautes réagissent au propos du président du Haut conseil islamique du Mali, qui a expliqué voir dans le terrorisme « une punition divine ».
Selon plusieurs déclarations d’experts et d’acteurs sur le terrain, le groupe État islamique (EI) ne cesse de se renforcer en Libye. De nouvelles recrues étrangères affluent vers Syrte, à l’heure où l’attention du monde est focalisée sur la Syrie et l’Irak.
Selon le ministère de la Défense qui s’exprimait mardi sur la radio nationale, l’armée camerounaise a enregistré en trois jours l’un de ses plus grands succès face au groupe terroriste Boko Haram, affilié à l’État islamique. Bilan : plus d’une centaine de jihadistes tués, 900 otages libérés et de nombreuses armes saisies.
Pourquoi la majorité des attentats perpétrés en Europe ces dernières années ont-ils été préparés dans les banlieues déshéritées du « plat pays », ce véritable hub de l’islamisme radical ? Tentative d’explication.
Le chef du gouvernement tunisien, Habib Essid, a relevé de ses fonctions le secrétaire d’État aux Affaires sécuritaires, Rafik Chelly, selon un communiqué de la présidence du gouvernement publié mardi. Un limogeage en lien avec l’attentat meurtrier qui a frappé le cœur de Tunis, le 24 novembre.
Alors que les attentats de Paris ont révélé les failles sécuritaires de l’Europe, comment le continent, qui conjugue à la fois une grande habitude et une vraie impuissance, lutte-t-il contre les groupes jihadistes ? Focus sur la capitale algérienne.
Un membre du personnel est décédé et une quarantaine d’étudiants ont été blessés lundi dans une université de Nairobi, lors d’un exercice de sécurité avec une simulation d’attaque terroriste qui a provoqué un mouvement de panique, ont annoncé l’établissement et la police.
Depuis les attentats du 13 novembre à Paris, les caméras du monde entier ont braqué leurs objectifs sur la commune bruxelloise de Molenbeek-Saint-Jean, dont plusieurs terroristes sont originaires. Une surexposition médiatique qui indispose et attriste les habitants. Reportage.
Alors que les attentats de Paris ont révélé les failles sécuritaires de l’Europe, comment le continent, qui conjugue à la fois une grande habitude et une vraie impuissance, lutte-t-il contre les groupes jihadistes ?
Une semaine après l’attaque terroriste de l’hôtel Radisson Blu, la vie reprend progressivement son cours à Bamako. Mais rien ne sera plus vraiment comme avant. La capitale est une cible, et l’État doit désormais faire face à ses manquements en termes de sécurité. Reportage.
Guinée, Cameroun, Tchad : pour se prémunir des attaques terroristes, ils sont de plus en plus nombreux à s’attaquer au voile intégral. Ou du moins à lancer le débat, quitte à susciter la polémique. Tour d’horizon.
Treize personnes ont été arrêtées et du matériel de « guerre » pouvant servir à la fabrication d’explosifs a été retrouvé dans les cadre de l’enquête sur l’attaque meurtrière contre la gendarmerie à Samorogouan début octobre, a affirmé jeudi 26 novembre le ministre délégué à la sécurité du Burkina Faso.
Abdelhamid Abaaoud, les frères Abdeslam, Tarik Chadlioui, Bilal Hadfi … Au lendemain des attentats parisiens du 13 novembre, l’existence d’une filière belgo-marocaine émerge.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Noumouké Sidibé a survécu et a sauvé plusieurs vies.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi eux, Mohamed Amine Ibnolmobarak.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Certains écoutaient le groupe américain Eagles of Death Metal au Bataclan. D’autres fêtaient l’anniversaire d’une amie au restaurant La Belle Équipe, pas très loin de la place de la Bastille. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, qui aimaient la vie, sortir, s’amuser, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi eux, Ludovic Boumbas.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi, eux Hyacinthe Koma.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Certains écoutaient le groupe américain Eagles of Death Metal au Bataclan. D’autres fêtaient l’anniversaire d’une amie au restaurant La Belle Équipe, pas très loin de la place de la Bastille. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, qui aimaient la vie, sortir, s’amuser, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi eux, Halima Ben Khalifa Saadi Ndiaye.
Des autorités locales ont indiqué jeudi que 18 villageois avaient été tués et 11 autres blessés la veille au soir par des membres du groupe terroriste Boko Haram dans le sud-est du Niger.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Certains écoutaient le groupe américain Eagles of Death Metal au Bataclan. D’autres fêtaient l’anniversaire d’une amie au restaurant La Belle Équipe, pas très loin de la place de la Bastille. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, qui aimaient la vie, sortir, s’amuser, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française.
Le ministère de l’Intérieur a annoncé jeudi 26 novembre le démantèlement d’une « cellule terroriste » dont les membres sont liés au groupe extrémiste sunnite État islamique et planifiaient des attentats.