Les autorités turques ont expulsé jeudi huit Marocains arrêtés à l’aéroport d’Istanbul et présentés comme des militants de l’État islamique qui voulaient se rendre illégalement en Allemagne.
L’arsenal de l’État islamique vient, encore, de s’étoffer. L’armée française a en effet annoncé jeudi qu’une de leurs bombes pourrait être tombée entre les mains du groupe terroriste à Raqqa.
Deux attentats meurtriers perpétrés par Boko Haram ont eu lieu au Nigeria. Mardi 17 novembre une explosion s’est produite sur le marché de la ville de Yola faisant plus de 30 morts et 80 blessés. Le lendemain, la ville de Kano a été attaquée, causant 15 morts et plus de 50 blessés.
Le commanditaire présumé des attentats de Paris, le Belgo-Marocain Abdelhamid Abaaoud, a été tué lors de l’assaut donné par les forces de l’ordre françaises à Saint-Denis, au nord de Paris, mercredi.
Entre 2003 et 2004, Yasar Yakis a été le premier ministre des Affaires étrangères de l’ère Erdogan. Proche du président turc dont il reste critique – il est aussi l’un des fondateurs historiques du parti AKP (au pouvoir) -, il revient sur la récente volte-face turque vis-à-vis de Daesh.
Le Parlement tchadien a adopté jeudi une résolution prolongeant l’état d’urgence de quatre mois dans la région du lac Tchad, a-t-on appris jeudi de source parlementaire.
Le président français François Hollande et le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon ont évoqué lors d’un entretien téléphonique mercredi l’adoption « le plus rapidement possible » d’une résolution contre le terrorisme au Conseil de sécurité, a indiqué la présidence française.
Abdelhamid Abaaoud a-t-il été tué mercredi dans l’assaut de Saint-Denis ? Est-il en fuite en France ? Au lendemain de l’assaut de Saint-Denis, au nord de paris, l’incertitude plane toujours jeudi sur le sort du cerveau présumé des attentats du 13 novembre.
Au lendemain des attentats terroristes du 13 novembre à Paris, la France a demandé une assistance militaire aux autres États membres de l’UE. Dans ce cadre, un déploiement des troupes européennes – allemandes et irlandaises a priori – en Afrique de l’Ouest paraît désormais plus que probable. Décryptage.
Quelques heures après l’explosion de Yola qui a provoqué la mort d’une trentaine de personnes, la ville de Kano a été à son tour frappée par un double attentat à la bombe mercredi. Bilan : quinze personnes tuées et plus de 50 blessées.
Après les attentats de Paris, le Conseil français du culte musulman (CFCM) se mobilise en vue de la prière du vendredi. Cet organe représentatif de l’islam va ainsi diffuser auprès des quelque 2 500 mosquées françaises « un texte solennel » condamnant « sans ambiguïté toute forme de violence ou de terrorisme ».
Nigeria, Égypte, Paris, Beyrouth : alors que l’État islamique et ses franchises multiplient les attentats, le chef de la diplomatie libyenne tire la sonnette d’alarme : la Libye pourrait bientôt devenir « le nouveau sanctuaire » de l’EI, prévient-il.
Quelques heures après l’explosion de Yola qui a fait plus de 30 morts mardi, Facebook a annoncé le déploiement au Nigeria de son dispositif d’urgence, le «safety check».
Cinq jours après les attentats de Paris, un assaut policier de grande ampleur a été lancé mercredi 18 novembre vers 4h30 du matin à Saint-Denis, commune limitrophe de la capitale française. L’opération visait Abdelhamid Abaaoud, organisateur présumé des tueries qui ont fait au moins 129 morts vendredi dernier.
Plus de 30 personnes ont été tuées mardi 17 novembre par l’explosion d’une bombe dans la foule dans la ville de Yola, dans le nord-est du Nigeria, ont indiqué la Croix-Rouge et l’agence nationale de secours.
Quatre jours après les attentats qui ont fait 129 morts à Paris, Salah Abdeslam, l’un des principaux suspects, est toujours en cavale. Mais l’enquête progresse aussi bien en France qu’en Belgique.
Deux journaux belges, DH et Laatste Nieuws, ont publié lundi soir à leur une le visage de Brahim Ouanda, Français d’origine maghrébine, présenté par erreur comme Brahim Abdeslam, l’un des kamikazes qui s’est fait exploser vendredi dernier dans la capitale française.
Pour l’islamologue franco-marocain Rachid Benzine, enseignant à l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence, le discours politique français suite aux attentats du 13 novembre ne fera qu’attiser la violence. Pour faire face à Daesh, il faut selon lui un contre-discours puisé dans l’histoire et l’anthropologie qui fasse de l’islam un objet de savoir autant que de croyance.
Le HCR a appelé mardi les États du monde entier à ne pas revenir sur leurs promesses d’accueil de migrants et de réfugiés, essentiellement des Syriens qui arrivent en Grèce, après les attentats de Paris du 13 novembre.
Le politologue algérien Hasni Abidi dirige le Centre d’études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen (CERMAM) à Genève. Participant aux MEDays 2015 à Tanger, du 11 au 14 novembre, il réagit aux attentats de Paris, estimant que la France a commis l’erreur de renoncer à sa politique arabe pour s’aligner sur celle des Américains.
Pour la deuxième nuit consécutive, l’aviation française a bombardé le fief du groupe État islamique (EI) à Raqqa, dans le nord de la Syrie, dans la nuit de lundi à mardi. Un centre de commandement et un centre d’entraînement ont été détruits, selon le ministère français de la Défense.
L’enquête, qui se partage entre la France et la Belgique, avance rapidement, trois jours après les attentats ayant fait 129 morts à Paris. Le point sur les dernières évolutions.
L’enquête, encore en cours trois jours après les attentats de Paris, semble s’orienter vers un nom : Abdelhamid Abaaoud. Voici ce qu’il faut savoir sur ce personnage soupçonné d’avoir commandité les attaques du vendredi 13 novembre.
Trois jours après les attentats de Paris, qui fait au moins 129 morts vendredi dernier, François Hollande s’est exprimé lundi à Versailles devant l’ensemble des parlementaires français réunis en Congrès. Une série de mesure a été annoncée.
L’armée nigériane a annoncé lundi avoir déjoué un projet d’attentat à l’arme lourde et aux bombes artisanales préparé par Boko Haram dans la ville de Maiduguri, fief du groupe islamiste qui en a fait une ville martyre.
Alors que la France rendait hommage lundi par une minute de silence aux victimes des attentats de Paris du 13 novembre, les journaux du monde entier continuaient d’avoir les yeux tournés vers la capitale française. Les journalistes et éditorialistes du continent ne font pas exception, entre compassion et analyse.
Quarante-huit heures après les attentats de Paris, l’armée française a annoncé avoir largué dimanche 20 bombes dimanche sur le fief de l’organisation État islamique (EI) à Raqqa, dans le nord de la Syrie.