Alors que se tient actuellement la rencontre de haut niveau tant attendue entre Madrid et Rabat, une nouvelle attaque commise en Espagne par un ressortissant marocain remet sur la table les questions sécuritaires et terroristes, sur fond d’instrumentalisation politique.
Débarrassé de ses oripeaux coloniaux, le code pénal zambien ne punit plus le délit d’offense au chef de l’État, comme l’avait promis le président Hakainde Hichilema, lequel est en passe de devenir le nouveau chouchou des Occidentaux.
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, mise sur la « diplomatie du drone » pour étendre l’influence d’Ankara sur le continent, où les États-Unis et la Chine contrôlent l’essentiel du marché.
Le bilan du capitaine Traoré à la tête de la transition, les mercenaires de Poutine, les tensions entre Ouagadougou et Paris… L’ex-chef de file de l’opposition et ministre de Roch Marc Christian Kaboré livre son analyse.
Enlevées dans le nord du pays il y a une semaine, ces femmes ont été libérées vendredi par l’armée, ainsi que leurs quatre bébés. Mais une série d’attaques jihadistes a fait en parallèle une trentaine de morts.
Quelques jours après l’enlèvement d’une cinquantaine de femmes dans le nord du pays, le président de la transition s’est exprimé au sujet des attaques de jihadistes qui se multiplient contre les civils.
De plus en plus visible, la présence des Émirats arabes unis au Sahel ne se traduit pas, ou pas encore, par un déploiement militaire. Mais le souci de contrer l’expansion des groupes jihadistes est très clairement affiché.
L’artiste franco-camerounaise Osvalde Lewat a choisi de montrer la force et la fierté de femmes rescapées d’attaques terroristes. Une approche qui n’est pas forcément comprise par tout le monde…
Libération des soldats ivoiriens détenus au Mali, instabilité chronique dans le Sahel, rôle de la jeunesse dans le développement… Le leader du groupe Magic System commente sans détour l’actualité africaine.
Dans la nuit du 2 au 3 janvier, des hommes armés à motos ont attaqué simultanément Kassela et Markacoungo, à quelques dizaines de kilomètres à l’est de la capitale malienne.
Soucieux d’anticiper des incursions terroristes venues du Sahel, le président sénégalais vient d’inaugurer un nouveau camp militaire à quelques encablures du Mali.
Rejet des vieilles élites et de la France, détricotage du dispositif sécuritaire régional… L’arrivée des Russes dans la sous-région pourrait bien être l’accélérateur et le révélateur d’un changement de paradigme.
Juste après l’attaque terroriste de l’Hyper Cacher, en 2015, au cours de laquelle il s’était montré héroïque, le Malien Lassana Bathily avait été naturalisé Français. Huit ans plus tard, quel regard porte-t-il sur les questions identitaires et sur la progression de l’extrême droite en France ?
Déplorant « l’inertie » du gouvernement dans la mise en œuvre de l’Accord de paix et de réconciliation, la CMA et la Plateforme demandent l’intervention de la médiation internationale dirigée par l’Algérie.
Ils se battent pour l’État de droit, la préservation de l’environnement, l’innovation et la recherche, une finance plus solidaire, l’émergence d’industries culturelles et créatives… Portrait de trente personnalités qui incarnent l’avenir du continent.
L’attentat commis dans la cité balnéaire ivoirienne a constitué un tournant pour la lutte contre le terrorisme dans le pays. Le procès en cours rappelle que le risque d’attaques jihadistes est toujours très présent.
Abou al-Hussein al-Husseini al-Qourachi succède à Abou Hassan al-Hachimi al-Qourachi, d’après un message audio du porte-parole du groupe État islamique.
Rached Ghannouchi a été entendu une nouvelle fois par la justice à propos du rôle présumé de son parti, Ennahdha, dans le départ de Tunisiens pour le jihad. Me Ridha Raddaoui, vice-président du Centre tunisien de recherches et d’études sur le terrorisme, fait le point sur l’enquête.
Pour contrer la menace jihadiste, les pays de l’Initiative d’Accra veulent collaborer davantage en matière de sécurité et de renseignement. Une réunion ministérielle a eu lieu ce 17 novembre, en vue d’une rencontre la semaine prochaine.
Le chef de l’État togolais oppose une riposte ferme aux attaques jihadistes et s’est préservé des coups de force. Pourquoi le pays semble-t-il mieux résister que ses voisins aux vents contraires qui soufflent sur l’Afrique de l’Ouest ?
En répétant comme un mantra le fameux triptyque « sécurité-gouvernance-développement », les autorités des pays confrontés au terrorisme occultent à tort les motivations religieuses du jihad.
La mort de trois terroristes, abattus le 2 septembre dans l’Ouest, en témoigne : loin d’être conquérants, les jihadistes sont désormais sur la défensive en Tunisie. Les explications d’un spécialiste, Borhen Yahyaoui.
Choisi par la branche maghrébine d’Al-Qaïda pour postuler à la direction de l’organisation terroriste, l’Algérien Abou Obeida Youssef al-Annabi, de son vrai nom Yazid Mebarek, a rejoint le FIS dès la fin des années 1980. Et évolué, depuis, dans tous les groupes islamistes d’Afrique du Nord.
Né au Maroc, Mohammed Abattay, alias Abou Rahman al-Maghrebi, est l’un des prétendants à la succession d’Ayman al-Zawahiri, le chef d’Al-Qaïda tué le 31 juillet en Afghanistan par une frappe américaine.
Le bilan s’alourdit à la suite des attaques perpétrées le 7 août dans le camp militaire et la commune de Tessit, dans le nord-est du pays. L’armée malienne incrimine l’État islamique au Grand Sahara (EIGS) et « une expertise extérieure ».
À la mi-juillet, des attaques d’une ampleur inédite ont frappé le pays, qui tente depuis de revoir son dispositif sécuritaire pour contenir la menace venue du Nord.
Le Groupe de soutien à l’Islam et aux musulmans (GSIM), affilié à Al-Qaïda, a revendiqué l’attaque suicide visant Kati, cœur de l’appareil militaire malien, aux portes de Bamako.