Dans un rapport publié jeudi, un organe spécialisé des Nations unies a indiqué que l’Afrique reste une importante zone de transit de cocaïne à destination d’autres parties du monde. Sa région Ouest a connu une hausse des saisies de cette drogue ces dernières années.
Le continent africain demeure « l’une des principales zones de transit » du trafic de drogues l’échelle mondiale, et sa classe moyenne en expansion est un nouveau débouché pour les trafiquants, selon le rapport annuel de l’Organisation internationale de contrôle des stupéfiants (OICS), publié le 2 mars.
Quatre Saoudiens condamnés à mort pour trafic de haschich ont été décapités lundi dans le sud-ouest du royaume. Le bilan s’alourdit à 32 exécutions depuis le début de l’année en Arabie saoudite.
Alors que l’économie de la Guinée-Bissau est sinistrée et que l’État sombre chaque jour un peu plus, le trafic de cocaïne et les commerces illicites prospèrent. Peu de chances que la présidentielle du 13 avril change la donne.
Autrefois pays de transit, le Nigeria est désormais impliqué à tous les niveaux dans le trafic de drogue, une véritable bombe sécuritaire potentielle, prévient son agence anti-narcotiques (NDLEA), dépassée et sous-financée.
L’amélioration de la sécurité en Afrique, objet d’un sommet franco-africain ce week-end à Paris, passe par la neutralisation des trafics de drogue sur le continent africain, devenu ces dernières années une plaque tournante entre l’Amérique Latine, l’Asie et l’Europe, selon des experts.
Sévèrement réprimé, l’usage de stupéfiants est l’une des causes principales de la surpopulation carcérale en Tunisie. Au point que certains suggèrent de dépénaliser la consommation de haschich.
Abdoulaye Niang, chef de la police et ex-chef de la lutte antidrogue, est accusé par Cheikhna Cheikh Sadibou Keïta, son successeur, d’avoir revendu des stupéfiants à un réseau mafieux. Il a été destitué de ses fonctions le 25 juillet.
L’ancien président capverdien (2001 à 2011), est membre de la Commission sur l’impact du trafic de stupéfiants en Afrique de l’Ouest, lancée par la fondation Kofi Annan le 31 janvier, à Accra. Il y siège en compagnie de l’ancien chef d’État nigérian, Olusegun Obasanjo, et d’autres personnalités de la société civile de la sous-région, comme Gilbert Houngbo, ancien premier ministre du Togo, et Oumou Sangaré, la diva malienne. Interview.
En dix ans, l’Afrique de l’Ouest est devenue une plaque tournante du trafic de drogue, l’un des principaux points de passage entre producteurs latino-américains et consommateurs européens. Un phénomène qui engendre une augmentation de la consommation dans la région, avec les risques sociaux, politiques et sanitaires qu’elle comporte. Interview avec Alan Doss, membre de la fondation Kofi Annan.
Neufs membres d’un réseau de trafic de drogue international ont été arrêtés mardi 13 mars par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) marocaine. Qui ont découvert un véritable trésor de guerre.
Le 30 octobre dernier à Bamako, le député de Bourem (Nord-Mali), Ibrahim Ag Mohamed Saleh, a été arrêté par des hommes se présentant comme des éléments des services de renseignement maliens. Ce député touareg de l’Adema-PASJ (majorité présidentielle) dit avoir été menacé de mort et avoir reçu un « dernier avertissement » pour qu’il cesse d’accuser l’État malien de laxisme dans le dossier du narcoterrorisme. Entretien avec un homme en colère.
Règlements de compte dans le Sahel sur fond de narcotrafic. Régulièrement, des groupes de trafiquants de drogue maliens et sahraouis prennent en otage des membres de leurs communautés respectives comme garantie de leur transaction. Une pratique qui peut entraîner des représailles dramatiques.
Les forces de sécurité maliennes qui luttent contre le trafic de drogue dans la région saharienne ont démantelé un important réseau connu sous le nom de « Polisario ». Cette appellation s’expliquerait par la proximité entre les trafiquants et le mouvement indépendantiste du Sahara occidental.
Sept Etats d’Afrique de l’Ouest, inquiets de voir prospérer le trafic de cocaïne et d’autres stupéfiants sur leur territoire, se sont engagés lundi à Dakar à mieux coordonner la lutte, avec l’aide de l’Union européenne qui doit débloquer 15 millions d’euros.
Un avocat malien, Me Harouna Mamadou Touré, a annoncé samedi à l’AFP qu’il partait aux Etats-Unis pour y défendre trois Maliens, inculpés à New York pour activités terroristes présumées et trafic de drogue, après avoir été « piégés » par des agents américains infiltrés au Ghana.
Depuis 2004, les autorités mènent une lutte sans merci contre le trafic de drogue, notamment la résine de cannabis. Objectif : éradiquer sa culture d’ici à 2018.
Ousmane Conté, fils aîné du défunt président guinéen Lansana Conté décédé le 22 décembre, a avoué à la télévision d’Etat « être impliqué dans le trafic de drogue en Guinée », en demandant pardon pour ses « pêchés ».
Le fils aîné du défunt président guinéen Lansana Conté, décédé le 22 décembre après avoir dirigé le pays d’une main de fer pendant 24 ans, a été arrêté à Conakry pour son implication présumée dans « un trafic de drogue », a-t-on appris de sources militaires.
APA -Conakry (Guinée) Des officiers de la police guinéenne, soupçonnés d’être impliqués dans un trafic de drogue, ont été interpellés vendredi à Conakry, par les services du Secrétariat d’Etat chargé des services spéciaux de la lutte antidrogue et du grand banditisme, a appris APA samedi de bonne source.
Une opération de trafic de drogue et de contrebande de cigarettes a été mise en échec par les Forces Armées Royales marocaines au niveau des frontières avec l’Algérie, indique l’Agence de presse marocaine MAP, citant un communiqué du ministère de l’Intérieur.
Un total de 96 personnes, dont de nombreux fonctionnaires de sécurité, ont déjà été mises en examen après le démantèlement d’un important réseau de trafic de drogue entre le Maroc, la Belgique et les Pays-Bas via l’Espagne, a-t-on appris de source judiciaire.
À Dakar, Bissau ou Cotonou, les quantités de cocaïne interceptées par les autorités sont de plus en plus importantes. Tant et si bien que la région est aujourd’hui considérée comme une plaque tournante du trafic de drogue entre l’Amérique latine et l’Euro