Qui tire les ficelles du théâtre de la guerre ? Ultranationalistes israéliens, islamistes palestiniens, mais aussi Égypte, Qatar, Iran et même Turquie… Autant d’acteurs qui poussent leurs pions sur ce jeu d’échecs meurtrier.
Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, qui demande à son fils de cacher des millions de dollars. C’est ce que révèlent des conversations téléphoniques mises en ligne par un mystérieux informateur…
La crise entre l’Egypte et la Turquie, née avec la destitution du président islamiste Mohamed Morsi et la répression de ses partisans, s’est aggravée samedi, Le Caire expulsant l’ambassadeur de Turquie en réduisant sa représentation diplomatique et Ankara appliquant la « réciprocité ».
La Turquie est candidate pour accueillir l’exposition universelle 2020. Afin de convaincre les délégués du Bureau international des expositions (BIE), elle a choisi la cité cosmopolite d’Izmir et présente un projet centré sur la santé et l’entraide médicale internationale.
La mobilisation contre le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan ne faiblit pas et continue à rassembler des milliers de personnes à travers toute la Turquie. Lundi 3 juin, un jeune homme de 22 ans est mort après avoir été grièvement blessé par balle lors d’une manifestation dans le sud du pays.
Le 3 novembre 2002, l’arrivée au pouvoir de l’AKP avait suscité bien des espoirs. Et quelques craintes. Depuis, le parti islamo-conservateur a fermement assuré son emprise sur la Turquie. Pour le meilleur et pour le pire.
La Turquie laisse désormais entendre qu’elle pourrait être amenée à intervenir militairement en Syrie. Face à cette menace, le régime de Bachar al-Assad semble lâcher la bride au PKK, groupe rebelle kurde menant des actions contre Ankara depuis la Syrie. Le début de l’escalade ?
Trois pays – dont l’Allemagne et la France – se montrent farouchement hostiles à l’adhésion d’Ankara. Les vingt-quatre autres Etats membres y sont favorables. Pour des raisons bien différentes.
Le 4 mars 1924, Mustafa Kemal parachève son œuvre. Quelques mois après avoir instauré, en Turquie, une république moderne et laïque, il supprime la fonction religieuse du dernier sultan.