La semaine de l’entre-deux tours des élections régionales en France a vu fleurir plusieurs hashtags sur Twitter visant à dénoncer le comportement de la gauche de gouvernement à l’égard des minorités.
En vertu de la « clause de solidarité » européenne invoquée par la France devant l’UE dans sa riposte contre le groupe État islamique, le Luxembourg a décidé mercredi de « doubler » son contingent militaire au Mali. Résultat des courses : celui-ci s’élèvera à… deux militaires. Les réactions ne manquent pas de sel sur Twitter.
Le gouverneur du Katanga a créé, le 21 septembre, son premier profil public sur un réseau social. La première étape vers le lancement d’une campagne présidentielle ?
Si les dirigeants africains sont de plus en plus nombreux et de plus en plus actifs sur Twitter, peu d’entre eux se suivent mutuellement. Et dans un monde interconnecté, les comptes les plus influents ne sont pas toujours ceux que l’on croit. Immersion interactive.
Malgré les multiples accusations de violations des droits de l’homme qui pèsent sur lui, le leader nord-coréen, Kim Jong-Un, a été désigné lundi lauréat du prix « pour la paix la justice et l’humanité » par la Fondation indonésienne Sukarno. L’annonce a suscité indignation et surtout moult railleries sur les réseaux sociaux.
Des leaders et institutions du continent se déploient de plus en plus sur Twitter. Certains, comme le Rwandais Paul Kagamé, sont déjà des modèles d’interactivité pour le monde entier. Mais ce n’est pas le seul enseignement d’une étude américaine publiée fin mars, dont nous analysons ici les résultats.
Depuis mardi, plusieurs réseaux sociaux, dont WhatsApp et Twitter, ont été coupés sur les téléphones portables à Bujumbura, théâtre depuis dimanche de manifestations contre un troisième mandat du président Pierre Nkurunziza.
Un communiqué audio d’Abdelmalek Droukdel, l’émir d’Aqmi, a été posté jeudi sur Twitter. Il y félicite les jihadistes d’Al-Qaïda pour leurs victoires en Syrie mais ne dit rien sur ses zones d’influence habituelles, le Maghreb et la bande sahélo-saharienne.
Le site de microblogging Twitter a supprimé lundi un compte ouvert depuis le 8 février, présenté comme celui de la nébuleuse islamiste nigériane Boko Haram. Une action que réclamaient de nombreux abonnés du réseau social.
Zelda la Grange, ancienne assistante personnelle de Nelson Mandela, a dû s’excuser après avoir dit sur Twitter qu’elle sentait que les Blancs n’étaient pas les bienvenus en Afrique du Sud.
Le week-end du 28 et 29 décembre, les voyageurs de la compagnie Air Algérie ont eu leurs nefs mis à rude épreuve, devant patienter jusqu’à six heures dans l’aéroport d’Orly. Alors que la compagnie garde le silence sur les raisons de ces retards, les usagers, eux, ne se privent pas de rappeler sur les réseaux sociaux que cette situation n’a malheureusement plus rien d’exceptionnelle.
Coupe du monde, cérémonie des Oscars, émeutes à Ferguson, épidémie d’Ebola, Boko Haram… L’actualité de l’année 2014 a été riche et les réseaux sociaux particulièrement actifs. Voici notre sélection des dix hashtags qui ont marqué ces douze derniers mois sur le continent et dans la diaspora.
S’ils sont aujourd’hui presque tous présents sur Twitter, nos présidents y sont-ils pour autant influents ? Pas forcément, tant le pourcentage de followers fictifs ou inactifs peut être élevé. Jeune Afrique fait le point, chef d’État par chef d’État.
La police de Manchester pourrait enquêter sur des faits de racisme autour de la personne de Yaya Touré. Une association de lutte contre la discrimation l’a en effet informée de propos racistes s’adressant au joueur ivoirien sur son compte Twitter.
L’État islamique est attaqué sur le terrain en Syrie, mais également sur les réseaux sociaux par de simples citoyens. Le 10 septembre, de jeunes Britanniques ont lancé le hashtag #NotInMyName (« pas en mon nom ») afin de dénoncer les amalgames entre islam et extrémisme. Depuis, c’est un véritable succès viral.
Depuis les révélations du « Mail and Guardian » le week-end dernier sur le parachutage de Thuthukile Zuma, la fille du président sud-africain, au poste de directrice de cabinet au ministère des Télécommunications, Twitter s’est enflammé. On ne compte plus les piques et les railleries contre la jeune fille de 25 ans et sa famille. Petit florilège.
Les polémiques autour du conflit israélo-palestinien n’épargnent pas le monde du football. Les deux anciens coéquipiers en Angleterre, Joey Barton et Yossi Benayoun, se sont répondus par tweets interposés : Benayoun, de nationalité israélienne, n’a visiblement pas gouté aux prises de positions pro-palestiniennes du Britannique Barton.
En Côte d’Ivoire, la venue d’Annick Girardin avec le président français François Hollande n’est pas passée inaperçue. En effet, la twitosphère s’est quelque peu émue de la tenue vestimentaire de la secrétaire d’État au Développement et à la Francophonie. Morceaux choisis.
« Jeune Afrique » a établi un classement d’où il ressort un grand retard dans l’utilisation de Twitter par les villes africaines. Si certaines municipalités se démarquent, la plupart négligent cet outil de promotion sur internet – même les plus touristiques, notamment au Maghreb. Enquête.
Le ramadan débute à partir de samedi 28 juin. Durant un mois, le neuvième du calendrier musulman, plus d’1,5 milliard de musulmans vont jeûner à travers le monde. Et parmi eux, beaucoup seront également présents sur Twitter, où, pour l’édition 2013, 74,2 millions de tweets s’étaient échangés sur le sujet. « Jeune Afrique » vous présente le guide, en trois étapes, du ramadan version 2.0.
Le match le plus populaire, le joueur le plus suivi, le joueur le plus interactif pendant le Mondial 2014… La Coupe du monde des Africains se joue aussi sur Twitter. « Jeune Afrique » a fait le bilan de la compétition en chiffres, en tweets, et en infographies.
Sur le site de micro-blogging,Twitter, plusieurs personnes ont salué vendredi la mémoire de Patrice Lumumba, le héros de la lutte pour l’indépendance de la RDC, assassiné le 17 janvier 1961. Florilège.
À la fin de l’année 2013, seulement six chefs d’État africains possèdent des comptes personnels certifiés sur le réseau Twitter. Une situation qui contraste avec la présence croissante des dirigeants du continent sur le site de micro-blogging.
Non, Twitter n’a pas fait la révolution tunisienne de 2010-2011. Mais la contestation s’est propagée en partie grâce au réseau social. Outil de mobilisation, d’information et d’entraide pour les manifestants… Trois ans après, retour sur la tempête de sable numérique qui a contribué au renversement de Ben Ali.
Le match de qualification pour la Coupe du monde 2014 qui a opposé le Burkina Faso à l’Algérie, samedi, à Ougadougou, a été très disputé sur le terrain (3-2) et en tribunes. Sur Twitter, les tensions de la rencontre se sont traduites par un déchaînement de tweets racistes utilisant sans retenue des termes d’un autre âge.
D’Alassane Ouattara à Ibrahim Boubacar Keïta, en passant par Paul Kagamé et Macky Sall, les chefs d’État africains ont pris goût aux gazouillis. Mais qui se cache réellement derrière leur compte Twitter ? Conseiller passionné de nouvelles technologies, véritable équipe de communication… « Jeune Afrique » a enquêté.
Avec le développement d’Internet sur le continent et l’explosion des réseaux sociaux, Twitter a peu à peu conquis l’Afrique. Chaque événement, chaque crise, chaque élection, s’écrit et se commente désormais en 140 signes. « Jeune Afrique » s’est replongé dans les trois dernières années, au contact des hashtags africains, témoins éphémères ou persistants d’une certaine histoire du continent.
Alors que les pénuries d’eau continuent à Dakar, les Sénégalais se mobilisent, comme souvent, sur les réseaux sociaux. Sur Twitter, ils ont notamment lancé deux hashtags, #EauSecours et #EauSolution. Une carte Google a aussi pour but de recenser les points d’eau encore accessibles dans la capitale.
L’attaque du commando Shebab contre le centre commercial de Nairobi terminée, l’heure est désormais au bilan et aux questions. Du nombre exact d’otages tués à l’identité des terroristes en passant par leur communication sur Twitter, de nombreuses zones d’ombres subsistent.