La société de Mark Zuckerberg est accusée d’avoir violé les lois nigérianes en matière de protection des données et de droits des consommateurs, principalement sur les réseaux Facebook et WhatsApp. Elle fait appel d’une amende de 220 millions de dollars.
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Célébrant ses scores sur les réseaux sociaux, la pasionaria du néopanafricanisme digital antifrançais a posté une vidéo où on la voit danser en s’éventant avec une liasse de billets. En sous-titre : « Pas d’argent, pas d’amis. »
Sur les réseaux sociaux, prépondérant désormais dans le commerce sénégalais, les émoticônes et les messages vocaux permettent de s’affranchir de la barrière de la langue. La plupart des produits sont importés de France, de Chine ou de Dubaï.
En Afrique, le marché des « grandes oreilles » est en pleine expansion. Chefs d’État, opposants, hommes d’affaires : nul n’est à l’abri des hackers, et s’en prémunir est une vraie gageure. Enquête sur une très lucrative guerre de l’ombre.
La dénonciation des nouvelles conditions imposées par l’application de messagerie est venue d’Afrique du Sud, l’économie la plus industrialisée du continent.
L’emblématique messagerie détenue par Facebook a vu fuir ses utilisateurs depuis l’annonce de nouvelles règles de confidentialité. Une aubaine pour des services comme Signal, Telegram ou Ayoba de MTN.
Alors que l’application mobile est la cible d’un appel au boycott, à la suite de la mise à jour de sa politique de confidentialité, le réseau mobile tente de rassurer les Africains en réaffirmant la sécurisation de ses services.
Très informés des capacités d’espionnage des grandes entreprises du secteur, les chefs d’État du continent tentent de faire de leur téléphone un véritable coffre-fort. Face aux risques d’écoute, chacun s’équipe et redouble de prudence. Tour d’horizon des téléphones de nos présidents et des pratiques de nos politiques.
Le téléphone de Jeff Bezos, propriétaire du Washington Post aurait pu être piraté par le pouvoir saoudien à des fins de chantage. Après l’assassinat du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, voilà le monde qui fait mine de découvrir la nature du régime de Riyad…
L’arrivée de l’opérateur Free au Sénégal en octobre a poussé ses concurrents, Orange et Expresso, à proposer des offres concurrentielles. En conséquence, la baisse des tarifs de la téléphonie mobile, l’un des principaux objectifs de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes, a bel et bien eu lieu.
Face à la haine en ligne, certaines plateformes semblent, enfin, sortir de l’immobilisme. Mais les efforts consentis demeurent insuffisants et manquent souvent de constance.
L’annonce, à la mi-mai, de l’exploitation d’une faille de sécurité dans l’application WhatsApp a provoqué une panique mondiale inégalée dans l’histoire récente du cyberespionnage. Et pour cause : potentiellement 1,5 milliard d’utilisateurs risquaient d’être espionnés par l’un des logiciels les plus intrusifs du marché, Pegasus, développé par l’entreprise israélienne NSO.
À travers ses différentes plateformes (Facebook, Messenger, Instagram et WhatsApp), le géant américain des réseaux sociaux couvre 48 pays d’Afrique subsaharienne. Sa responsable Afrique, Nunu Ntshingila, explique ses grands axes stratégiques.
Lors d’une rencontre avec la presse spécialisée, le patron du groupe de télécommunications a évoqué la concurrence des plateformes telles que WhatsApp, Viber ou Skype sur les appels passés depuis l’international.
C’est à un Africain que l’opérateur français a confié, en mai, la direction de sa zone Afrique et Moyen-Orient. Et c’est à Jeune Afrique que le Sénégalais a choisi de donner sa première interview.
Depuis ce mercredi 19 septembre, le gouvernement béninois applique une taxe sur les réseaux sociaux, qui fait flamber les prix de l’accès à internet. Une décision mal vécue à Cotonou et interprétée par la plupart des internautes comme une mesure de représailles contre les critiques du pouvoir.
Les géants du numérique et du high-tech gagnent des sommes fabuleuses mais s’arrangent pour n’en déclarer qu’une infime partie. En Europe comme en Afrique, on réfléchit au moyen de les imposer plus équitablement.
Manipulation de l’information, appel au meurtre, incitation à la haine… Comment vaincre l’épidémie qui ravage plateformes et réseaux sociaux ? Facebook et les autres jurent qu’ils font l’impossible. Mais est-on obligé de les croire ?
On ne plaisante pas avec John Magufuli. En tout cas plus sur les réseaux sociaux. Depuis l’adoption d’une nouvelle loi contre la cybercriminalité les Tanzaniens doivent se tenir sur Twitter ou WhatsApp, au risque de se voir condamnés à de la prison ferme.
Depuis l’annonce contestée de la victoire d’Ali Bongo Ondimba à la présidentielle du 27 août et les violents heurts post-électoraux, l’accès à internet reste très perturbé au Gabon. Si la connexion est rétablie à certaines heures de la journée, les réseaux sociaux semblaient quant à eux toujours inaccessibles mercredi 14 septembre.
Depuis la réélection du président Idriss Deby Itno au mois d’avril, plus aucun réseau social n’est accessible par la voie habituelle au Tchad, dénonce l’association Trop c’est Trop. Le gouvernement invoque un problème technique.
L’utilisation de WhatsApp a explosé avant les élections législatives d’avril 2015 au Bénin. Depuis, le réseau social semble être devenu indispensable à bien des égards. Reportage à Cotonou.
C’est l’un des derniers arguments choc de WhatsApp : la confidentialité des échanges entre utilisateurs, que l’application a annoncé avoir amélioré en avril dernier. Comment fonctionne ce cryptage ? Est-il vraiment efficace ? Éléments de réponse.
Lancé en 2009, Whatsapp compte aujourd’hui plus d’un milliard d’utilisateurs. Une performance de taille à laquelle l’Afrique est loin d’être étrangère : Whatsapp est l’application mobile la plus utilisée du continent et sa croissance est exponentielle. Recette d’un (énorme) succès.
Pour l’ANRT, le régulateur du secteur télécoms au Maroc, les services de téléphonie ne peuvent être fournis que par des exploitants agréés. Une décision qui n’est pas pour déplaire aux opérateurs télécoms marocains. Décryptage.