À en croire sa famille qui a reçu confirmation de l’information via Whatsapp, un jeune Ghanéen de 25 ans a rejoint le groupe État islamique, devenant ainsi la première recrue (connue) de Daesh ressortissant de cet État d’Afrique de l’Ouest.
Lancée depuis bientôt cinq ans, l’application de messagerie internet WhatsApp a conquis les smartphones de millions d’utilisateurs dans le monde. Très utilisé en Afrique, l’outil s’installe même au cœur des stratégies de communication des hommes politiques.
Depuis mardi, plusieurs réseaux sociaux, dont WhatsApp et Twitter, ont été coupés sur les téléphones portables à Bujumbura, théâtre depuis dimanche de manifestations contre un troisième mandat du président Pierre Nkurunziza.
Internet a largement modifié les comportements sociaux dans le monde. Et l’Afrique n’est pas épargnée par ce vent technologique venu du Nord. Ainsi, après l’euphorie des rencontres 2.0 symbolisée par Facebook ou Meetic, une application de rencontres par géolocalisation, sur smartphone, fait entrer le continent dans la drague 3.0.
L’ARTP, le régulateur du secteur télécoms au Sénégal, a adressé une mise en demeure à la Sonatel au sujet des dysfonctionnements constatés par les usagers des applications de messagerie instantanée Viber et Whatsapp. L’opérateur est exposé à des sanctions pécuniaires.